Comment améliorer le niveau de protection avec le vitrage
Lors de la conception d’un bâtiment en verre, il est nécessaire de prendre en considération le niveau de protection requis pour différentes parties du bâtiment. Le risque d’avoir un impact sur le vitrage est le niveau le plus élevé au niveau des épaules au sol et autour des plaques de poussée et des poignées de porte. Cette zone est particulièrement sensible aux blessures aux mains. La chute du vitrage peut également entraîner des blessures supplémentaires au corps. Les enfants sont également à risque.
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Systèmes d’ancrage mécanique
Il existe un certain nombre de systèmes d’ancrage mécanique différents disponibles pour une utilisation sous les fenêtres et les portes. Chaque système fonctionne en capturant le produit de vitrage soit via son volet ou les bords. Ces systèmes se composent généralement de cadres en acier ou en aluminium qui sont vissés dans le bâtiment et fixés avec des joints. Certains systèmes d’ancrage mécanique peuvent également être utilisés pour sécuriser les films de sécurité protecteurs sur le cadrage.
Un système de vitrage protecteur fonctionne mieux lorsqu’il est conçu comme un assemblage intégré. Il doit être connecté au cadre structurel et aux autres matériaux utilisés pour construire l’enveloppe du bâtiment. Le lien entre le vitrage et le cadre est l’un des problèmes de conception les plus importants. La distance entre le vitrage et le cadre est connue sous le nom de piqûre de vitrage. Différents types de systèmes de vitrage protecteur nécessitent différents types de systèmes d’ancrage.si vous avez besoin d’une entreprise de vitrerie contactez vitrier Paris 2.
Corrosion : Si des ancres de fenêtres sont en acier, elles sont vulnérables à la corrosion à partir de l’air extérieur, de l’air salin ou des iphabriquants. Cependant, l’effet corrosif de ces produits chimiques peut être temporaire et peut être corrigé en remplaçant les composants endommagés. Les adhésifs utilisés pour les systèmes d’ancrage doivent également être résistants à l’attaque chimique.
Efficacité énergétique : le vitrage protecteur doit être conçu pour équilibrer l’efficacité énergétique, la sécurité incendie et la durabilité. Lors du choix des systèmes de vitrage protecteur, considérez dans quelle mesure ils réduiront le coût d’exploitation du bâtiment et de maintenir la température intérieure. Considérez également la durée de vie des films de protection. La durée de vie utile moyenne d’un film de protection est de sept à dix ans. Ce délai peut être étendu en fonction de l’efficacité énergétique du bâtiment.
Ancre adhésive : Certaines ancres adhésives peuvent être installées dans des trous remplis d’eau. Cela permet d’installer le vitrage sans endommager les matériaux environnants. Les adhésifs SET-XP et ET-HP sont idéaux à cet effet. Ils ont des coefficients de frottement faibles et sont conçus pour résister à une charge de cisaillement élevée.
Vitrage à vide
Le vitrage sous vide est un moyen efficace d’améliorer le niveau de protection fourni par une enveloppe de bâtiment. Cette technologie se compose d’un écart à vide entouré de piliers de soutien. La différence de pression entre les piliers et l’air dans l’écart empêche le vitrage de se briser. De plus, un écart d’aspirateur est plus efficace pour transférer la chaleur d’un bâtiment qu’un verre isolant normal.
Pour améliorer le niveau de protection d’une enveloppe du bâtiment, le vitrage sous vide est souvent utilisé conjointement avec le vitrage du CO2. Ce type de vitrage est également appelé vitrage super-isolé. Généralement, ce type de vitrage a une faible valeur en U. L’ajout de gaz CO2 à deux couches de verre peut aider à réduire la valeur U des verres. Il est possible de concevoir un triple vitrage hybride avec du CO2 et des sections sous vide, ce qui entraîne une combinaison de vitrage haute performance et de coûts énergétiques réduits.
Dans un vitrage sous vide antérieur, le soudage a été utilisé pour sceller le bord du vide. Cependant, des études récentes ont montré que l’indium-allay, qui a une bonne adhérence au verre à des températures élevées, fonctionne mieux que le soudage. L’indium-allay est un métal fort et a une conductivité thermique élevée, ce qui en fait un bon choix pour le vitrage sous vide.
À la suite de ces recherches, il est possible de créer des systèmes hybrides triples de vitrage qui combinent le vitrage du gaz et de l’aspirateur de CO2. En calculant la transmission thermique et en analysant les économies d’énergie de ce type de vitrage, les chercheurs ont pu calculer l’épaisseur optimale pour les deux sections de vitrage. L’épaisseur optimale pour les sections de CO2 et de vide a été déterminée à 6,2 mm et 19 mm, respectivement.
Une étude de comparaison utilisant le programme EnergyPlus démontre que l’écart de performance entre le CO2 et le vitrage sous vide est similaire à celui du vitrage conventionnel. Cependant, d’autres types de vitrage ne sont pas inclus dans cette étude. L’analyse comprenait une variété de facteurs, y compris la température de surface du verre intérieur, l’énergie de chauffage totale consommée et d’autres critères de confort thermique.
Le vitrage sous vide a le potentiel de réduire la quantité de chaleur qui s’échappe d’un bâtiment pendant l’hiver et réduit la différence de température entre les espaces intérieurs et extérieurs. Cela permet de maintenir constant les températures intérieures, ce qui minimise la perte d’énergie thermique.
Verre de musée
Le verre du musée est utilisé pour améliorer la clarté de l’art et le protéger de la décoloration et d’autres dommages en raison de l’exposition à la lumière ultraviolette. Il peut également aider à préserver les pièces encadrées en réduisant les réflexions et en les gardant dans leur état d’origine. Il est standard dans les musées et les galeries et contient généralement des agents de blocage UV. Ces mesures de protection sont essentielles pour protéger les illustrations contre les dommages causés par la lumière UV, l’une des plus grandes menaces à sa préservation.
Le verre du musée est fabriqué à l’aide d’un processus qui lui permet de bloquer 99% des rayons UV nocifs. Le processus consiste à utiliser des équipements et des technologies de pointe, ainsi que des connaissances scientifiques expertes. Le verre est spécialement conçu pour réduire le risque de dommages aux œuvres d’art.
Le verre du musée a également un revêtement spécial qui empêche les reflets. Son revêtement anti-réfléchissant rompt les rayons lumineux entrants et les empêche de réfléchir, ce qui entraînerait la décoloration des œuvres. Il est également brillant et résistant à l’abrasion.
Le verre le plus commun utilisé dans les musées est l’acrylique. Il est également connu sous le nom de plexiglas ou d’acrylate. La galerie Tate relouage régulièrement des œuvres d’art en utilisant ce type de verre. L’acrylique est également couramment utilisé dans les trames d’affichage standard et est facile à couper et à gérer. Il est durable, léger et flexible, et est également considéré comme plus sûr que le verre flottant ordinaire.
Le verre de contrôle de la réflexion AR (RC) peut aider à bloquer 99% des rayons UV nocifs, ce qui réduit les reflets et la détérioration. De plus, le verre élimine les réflexions distrayantes et augmente la clarté et la précision des couleurs. Le verre empêche également la décoloration et la détérioration des œuvres d’art.
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